jeudi 6 janvier 2011

CHOMACHOMA SE PRONONCE SUR LA MENACE CONTRE LES JOURNALISTES

Victor CHOMACHOMA MUKUBITO, a au cours d'une rencntre avec certains journalistes à Uvira,  annoncés publiquement que la chasse aux journalistes Dominique KALONZO et Robert SHEMAHAMBA n'ai pas à son actif.
L'assistant  de l'administrateur du territoire d'Uvira en charge de l'économie et finance voulait dans cette déclaration apaiser la population qui commence déjà  à demander son départ vu les bavures et les accusations de détournement qui pèsent sur lui.  "Je ne suis pour rien dans les tortures qu'a subit dominique et dans l'arrestation de shemahamba le mois dernier. Ce que je demande et que ces amis rentrent de leur cachettent et qu'on puisse se réconcilier SI celà sera possible. Je suis un démocrate et je travail pour le développement de mon territoire" a déclaré Victor CHOMACHOMA. A la question de savoir s'il aurait détourner l'argent de construction d'un mur du stade de l'unité d'Uvira, l'assistant CHOMACHOMA répond par le négatif: " c'est étonnant. Ces accusations sont sans fondement et ne sont que des rumeurs."fin de citation. 
Les journalistes qui se sont entretenus avec lui ont voulu savoir le sors réservé aux auteurs de violation grave des droits de l'homme contre leurs confrères (kalonzo et robert) car certains sont bels et bien connus. A cette question, leur interlocuteur n'a rien répondu estimant qu'il appartient à la justice de faire son travail. Mais pour terminer, CHOMACHOMA a réconnu qu'il a eu assez d'appel émanant de l'extérieur sur ce dossier. 
Pendant ce temps, il faut signaler que les journalistes d'Uvira ont été affecté par la situation de leur confrère, aujourd'hui en refuge dans les pays étrangers. Aujourd'hui, bon nombre des journalistes ne veulent plus faire d reportages politiques ou sensibles de peur de subir ce que les autres subis. Certains refusent même de participer dans les réunions de rédaction de leur radio. Certains auditeurs des radio d'Uvira se sont déjà exprimer en indiquant qu'ils ne comprennent pas ce qui se passe réellement dans les radio locales. Ils ont compris qu'il y a un relâchement dans la façon de chercher et traiter les informations. Cette situation désoriente les auditeurs et fait que les gens ne puissent plus s'intéresser aux émissions des radios locales et préfèrent suivre des chaines étrangères et ou nationales au détriments des celles qu'ils préféraient il y a un temps.
ENOCK MAVAZI S.

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