VITAL KAMERHE, CANDIDAT AUX ELECTIONS PRESIDENTIELLES DE 2011 EN RDC


C’est au cours du Congrès de l’Union pour la Nation Congolaise, UNC en sigle, que l’ancien Président de l’Assemblée Nationale, Vital KAMERHE, a été plébiscité candidat de son parti à la magistrature suprême lors de prochaines élections prévues en Novembre 2011.

Vital KAMERHE est le Président National de ce parti de l’opposition, parti qu’il a crée après son divorce avec la mouvance au pouvoir depuis 2009 dernier. Il est reconnu comme la tête pensante de l’actuelle opposition politique Congolaise. On lui reconnaît dans son rôle qu’il a joué en 2006 pour l’accession de KABILA au pouvoir. Il est, indique la majeur partie de députés nationaux, l’homme qui mérite éloge pour son charisme et sa capacité de diriger le débat et les plénières de l’Assemblée Nationale.

Lors de sa dernière visite au Sud Kivu, il n’a pas hésité à demander pardon au nom de la classe politique Congolaise pour tout les maux que connais cette classe et dans son rôle de ce qu’est devenu aujourd’hui la RDC. Accueillit en libérateur depuis Kamanyola jusqu’à Fizi, en passant par Uvira, partout V.Kamerhe n’a fait révéler à la population sa vision de la RDC et ses priorités pour son développement. Il a beaucoup insisté sur l’installation d’un Etat de droit et le rétablissement de l’autorité sur toute l’étendue du territoire nationale. Le nouveau Lula de la RDC veut faire du Congo un pays qui se respecte et respecter de ses voisins et de toute la communauté internationale. Son combat sera aussi de lutter contre les antivaleurs a indiqué l’ancien speaker de l’Assemblée Nationale.

Après Hyppolite dit Joseph Kabila, Tshisekedi, KAMERHE vient d’être reconnus comme un autre homme fort qui va faire parler de ses prouesses pour la magistrature suprême. Alors que le PPRD et ses alliés ont déjà débuté la campagne électorale, dans des formes non voilées, en violation des lois et textes, l’opposition s’abstienne encore mais les choses vont mal. Des actes d’intolérance sont signalés ici et là et des médias proches de l’opposition ne cessent d’être objet de menaces et sanctions.

Un autre problème, c’est le calendrier électoral. Un observateur averti se pose la question de savoir si les élections auront bel et bien lieu dans le délai.
Et si pas cela, la population Congolaise ne sera-t-elle pas obligé de suivre l’exemple de la Tunisie et de l’Egypte

Dominique KALONZO wa NYAMBWE
Journaliste reporters
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